Spartan race et coaching mental : top départ 🔥
Hello 👋
Bienvenue dans cette nouvelle édition de Flow Letter 💌
Au programme :
🔥 Gros coup de foudre sur les courses Spartan
📚 Je retourne à la fac ! (enfin presque)
✍️ Dans les prochaines éditions
Dimanche matin, baskets de trail aux pieds, dossard électronique au poignet, mon bandeau de Spartan sur le front (j’ai franchement une tête de bite) … je suis prête pour ma première Spartan Race.
Il fait beau, il fait chaud, la foule est en délire à Saint-Raphael, et moi je retrouve mes tocs de runneuse à vérifier 50 x que mes lacets sont bien faits et à avoir envie de pisser juste avant le départ ! (of course).
Ma stratégie (parce que j’ai regardé quelques départs la veille) : partir en fusée pour ne pas me faire marcher dessus sur la première palissade ou bouchonner la tête dans le sable au moment de ramper sous les barbelés.
Mais surtout parce que depuis le réveil je suis passée en mode compet !
En parlant de compétition : Ma dernière remonte à presque 4 ans , et j’avais oublié à quel point j’adorais ça !
ps : si tu ne sais pas ce qu’est une Spartan, c’est ça 👀
Les Spartan race sont des courses d’obstacles.
Il existe plusieurs formats, notamment la Sprint (5km), la Super (10km) ou la Beast (21km).
Entre 20 et 30 obstacles : passages de palissades, anneaux, gibonnage de barre à barre, slackline, lancer de javelot, porter d'“atlas stone” (une grosse boule en marbre, granit …), de chaînes ou bien de sacs de sable …
Et quand tu rates un obstacle : 30 burpees ! (c’est cadeau)
Le but est évidemment de finir la course le plus vite possible 😉
Personnellement j’avais choisi la 10km (25 obstacles) :
5-4-3-2-1 💨 je me retrouve parmi les premiers de ma vague !
Les km se passent plutôt bien, je ne rate que 3 des 25 obstacles (soit 90 burpees à manger des cailloux, du sable et de la terre battue).
Je passe la ligne d’arrivée en 1h59min avec un énorme sourire et je retrouve tous les copains (le sport c’est vraiment incroyable).
sms de maman : “-alors ? ça va? rien de cassé”?
-All good !
Je termine 2ème/75 de ma catégorie âge, je suis très fière de moi mais surtout je n’ai qu’une envie c’est de recommencer !
Un simple objectif “pour me tester” est devenu en quelques semaines une vraie passion.
Bref, je suis déjà entrain de m’inscrire aux prochaines 🙌
Mais avant ! pizza, bières, crêpes, fromages et tout ce que j’évitais depuis quelques jours (pour ne pas dire semaines) à cause de mon système digestif en carton 😂
Gros crush pour cette discipline ❤️
Sur la route du retour, je me demande pourquoi j’ai eu un tel coup de coeur pour la Spartan ?
J’ai plusieurs pistes :
1. Comme le CrossFit, c’est un sport individuel mais avec un vrai esprit collectif. La compétition n’empêche pas l’entraide, la solidarité, le partage d’émotions. En l’occurence, j’ai la chance d’être entourée d’une belle équipe et de coachs au top alors évidemment ça compte !
2. Les Spartan mélangent trois sports que j’adore : de la course à pied, le CrossFit (un travail de force, des mouvements et une explosivité similaire), du parcours d’obstacle comme en Ninja.
Bref, pour moi c’est cet équilibre qui fait que je ne m’ennuie pas et que je continue à me challenger !
3. J’adore l’idée de compétitions ultra-ludiques. J’avais l’impression que la “pression” n’était pas la même. J’étais sur-excitée, moins stressée, je m’amusais !
Au final, j’ai toujours pris du plaisir, même sur du dénivelé, même sur les obstacles les plus difficiles.
4. Il ne faut pas se mentir, si j’avais fait un temps de merde, je n’aurais probablement pas eu le même discours (quoi que).
Quand je vois mes progrès en quelques semaines seulement d’entraînements … je ne peux qu’être hyper motivée pour la suite !
ps : tu peux retrouver mes vidéos en story à la une sur Instagram 😉
pss : si quelqu’un a des contacts pour participer à Koh Lanta, je prends 😉
Mais parce qu’on ne gagne pas sa vie en faisant l’andouille sur des ponts de singe 🙊 :
📚 Je retourne à la fac !
Enfin presque, parce qu’en réalité je n’y suis jamais allé (j’avais fait Ecole de commerce).
Mais bref, roulement de tambour après plusieurs semaines de suspens :
Je commence une nouvelle formation, un Diplôme Universitaire Coaching et Performance Mentale (à l’Université de Bourgogne).
Une formation continue pour devenir coach/préparateur mental : pour aider les sportifs (mais aussi les entrepreneurs) à optimiser leurs performances et leur bien-être (grâce au mental).
Je ne vais pas rentrer dans les détails de mon cheminement, je ferai un épisode de podcast sur le sujet.
Mais je t’explique rapidement :
J’ai toujours été passionnée de sport (ah bon? 🙄) et de challenges!
J’ai envie de m’entourer davantage de personnes qui me ressemblent
Je ne m’épanouissais plus autant en Marketing
J’avais le sentiment de manquer d’impact, de sens, d’humain dans mon job
J’ai envie de plus de terrain, de bouger, de voyager “avec” mon job, de décoller de mon ordi
J’ai une soif d’apprendre comme jamais …
et une soif de nouveaux défis (comme toujours)
À 28 ans je me dis que je suis assez mature pour une “reconversion”
J’ai saisi une opportunité qui s’est présentée à un moment où je me cherchais encore
Cet nouveau projet n’est pas incohérent avec mon job de freelance en stratégie de marques (personnelle) dans le sport.
(et au pire) Je suis une slasheuse assumée !
Ça fait plusieurs années que je regarde du côté du sport et du bien-être (l’année dernière j’étais à deux doigts de faire une formation de diet, ou de m’inscrire en Staps)
J’ai pris du recul sur des évènements de ma vie, je me suis battue contre des traumas et j’ai compris leur impact (psycho) sur ma santé …
J’ai envie de faire bouger les choses
Je n’ai pas grand chose à perdre
J’ai énormément à gagner !
Alors c’est parti 🧠
✍️ Dans les prochaines éditions
Je ralentis un peu la fréquence de cette Newsletter.
Déjà parce que je veux profiter de cette formation pour apprendre au maximum !
Ensuite parce que je relance mes cours de Yoga et mon activité de freelance : je t’en parle dans une prochaine édition.
Enfin parce que tout nouveau projet prend du temps à se mettre en place, j’ai besoin de clarifier, de structurer et d’approfondir ce que je veux te raconter.
Mais ce que j’ai en tête pour la suite c’est :
💌 Faire de la Flowletter une sorte de journal (pas si) intime : te raconter , sans filtre, ce que j’ai vécu ou ce que je vis au quotidien.
Te partager les histoires de ma vie, mes ressentis, mes doutes, mes apprentissages …
Pas juste pour parler de moi, mais pour t’inspirer, te motiver, peut-être te permettre de te poser des questions, d’en tirer tes propres leçons.
🎙En parallèle, continuer mon podcast Generation Flow, où j’interview des entrepreneurs, sportifs, “makers”…
Cette fois-çi, je te partage LEURS expériences, leurs projets, mais aussi la partie immergée de l’iceberg … (ce qu’on ne voit pas sur les réseaux)
👉Du contenu à l’équilibre entre performance et bien-être, podium et psycho, actions et émotions, bref du Flow !
D’ailleurs, si ce n’est pas déjà fait, fonce écouter le dernier épisode avec mon ami Hua-Victor Chen, ex-Google, co-fondateur de Majordome Digital, passionné de tennis, de piano, de soirée et de beaucoup d’autre choses 😉
Merci ❤️
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